Une nouvelle recherche suggère que les difficultés sociales sont dues plus à cause des neurotypique que les autistes
Publié le 19 Novembre 2017 par radicalneurodiversity
Traduit en français par Hexostum
L’autisme est vu, dans les représentation populaire, largement comme un désordre d’ordre social et de communication. Auparavant attribué comme naissant du manque d’instinct social chez les autiste, l’idée dominante courante est que quelquechose est déficient ou manquant dans la cognition sociale autistique. Souvent référé comme un déficit cognitif sur l’empathie ou “la théorie de l’esprit”, beaucoup de recherches sur les problèmes sociaux des autistes se sont concentrés sur la clarification et la détection de la pensée interne et du cerveau des autistes. La recherche pour cette insaisissable “theorie des l’esprit modulaire cassé” ou du “mécanisme d’empathie cassé”, cependant, a mené à des résultant contradictoire, certains scientifiques ont même conclu que les autistes ressente beaucoup trop d’empathie au lieu de trop peu.
Un autre point de vue est que ce n’est tout simplement pas un problème individuel neuro-cognitif, mais plutôt un problème social plus étendu. Contre l’idée que les autistes ont trop peu ou trop, les sympathisants des mouvements pour la neurodiversité autistique ont longtemps mis en avant le fait que le problème d’empathie est en vérité un problème à double-sens entre les neurotypiques et les autistes, qui émerge seulement quand la ligne est franchie. Dénommée le “Problème de double-empathie” par l’érudit en autiste Damian Milton, ce dénoncement met en emphase comment la communication et les rencontres sociales sont toujours des choses qui se passent entre personnes, signifiant que toutes brèches de communication est toujours relationnel et dépens des deux côtés, pas juste un problème inhérent à une partie ou l’autre.
Peu de recherche empirique a été mené dans cette direction (la plupart des financement est dirigé par et pour des propositions et paradigme pathologique, qui n’ont pas d’intérêt dans la poursuite d’une requalification de l’autisme en paradigme de neurodiversité). Cependant, une nouvelle collection d’études, publié dans Nature, a donné une poids nette à la notion que les problèmes des autistes dans la socialisation prends ses racines aussi bien de la part du côté neurotypique que du côté autistique.
Les trois études, chacune se penchant sur un panel différents et a utilisé une variété de méthodologie, ont toutes trouvées initialement que
Extrait Les premières impressions des observateurs sur les individus ASD s’engageant dans des comportement sociaux grandeur nature sont identifiés comme robustement moins favorable que ceux des individus neurotypique. Ces impressions ont été associées avec des intentions réduites de contact social par les observateurs.
En d’autres mots, ils ont trouvé qu’une importante contribution aux problèmes sociaux et de communication ne prend pas racine de la part de l’autiste mais bien sur les réaction des neurotypiques, basé sur des attitudes sociales et les premières impressions, qui conduit à une diminution du désir d’interagir avec un autiste. C’est à dire que les neurotypiques ont tendance à décider, dans les premiers moments de leur rencontre avec des autistes, qu’il ont moins de valeur à se socialiser avec l’autiste par rapport à une personne neurotypique.
S’appuyant sur cela, une des études a évalué plus profondément la différence entre communication orale et écrite. Ce qui a été trouvé est que les personnes autistes n’ont pas été noté négativement par les neurotypique quand seuls leur écrits ont été évalués. C’était plutôt comment les autistes apparaissent physiquement plutôt que le contenu de ce qu’ils disent, qui était le facteur clef déterminant le désir des neurotypique d’exclure les autistes. Ceci a été confirmé, a noté les chercheurs, quand
Une image statique a suffit pour générer des premières impressions négatives à propos des autistes. En contraste les premières impressions des neurotypiques ont été améliorées avec l’addition d’information visuelles
En d’autre mots, une photo d’un autiste a un effet négatif sur la perception neurotypique de ses écrits, tandis que une photo d’un neurotypique a tendance a avoir une effet positif sur la perception de ses écrits.
Etant donné ceci, il n’est pas surprenant que les autiste rencontre des problèmes quand il s’agit d’interaction sociale. Comme les auteurs l’expliquent plus clairement, leur trouvailles suggèrent que les problèmes que rencontre les autistes sont en fait relationnel
La réluctance des neurotypique de s’engager dans des relations sociales avec des autistes limite encore plus les opportunités qu’ont les autistes de pratiquer leur déjà fragile talent social. Ceci peut avoir un impact négatif significatif sur la capacité des autistes qui ont connaissance et qui s’intéressent au contact social d’améliorer leur habiletés de communication social et de travailler vers une intégration sociale réussite.
Les chercheurs conclut que
“Si notre but est d’améliorer l’interaction sociales des autistes, Il est alors aussi important d’éduquer les autres afin qu’il sont mieux au courant et acceptant des différences de présentation social , au lieu d’essayer de changer les multiples facteurs interconnectés de présentation qui désigne les expressions des autistes comme atypique
Cela correspondait avec la notion que le problème d’empathie existe dans les deux sens, plutôt que seulement de la part des autistes, sans parler du fait que cela se produit dans le contexte de normes persuasive d’individus capable et des attitudes qui cherchent à altérer plutôt que d’accommoder les autistes. Etant donné ceci, comme beaucoup d’autistes pourront le confirmer, cette nouvelle importante étude, sera vitale en aidant à montrer au faiseur de politique et le public général que le problème cle avec l’autisme n’est pas l’autisme en lui-même. Plutôt, comme l’a si longtemps argumenté les défendants de l’autisme, le problème est la société neurotypique et la notion d’être capable si profondément incrusté dans cette société.